anatomie
ou comment j'ai avalé des spaghettis avec une paille
L’ Anatomie de l’ennui s’ouvre sur un phénomène singulier : le passage de nuages bleus sur fond blanc.
Rien ne semble se passer et pourtant quelque chose est en train d’arriver. Dans une pénombre invitant à l’intimité, un corps suspendu entre terre et mer vogue sur l’ennui.
de l'ennui
L’ennui passif, lancinant, insupportable qui transforme l’être en une bête étrange. Un ennui habitant chaque geste et le répétant frénétiquement et inlassablement.
Un ennui comme un vide inexorable.
Et pourtant...
Dans ce vide, l’observation se fait plus fine et détaillée.
Le corps de la danseuse se déploie dans des musicalités spontanées.
Il occupe l’espace écrivant et construisant peu à peu sa propre histoire. La danse, à cet instant, naît de l’occupation à ne rien faire.
Rien ne semble se passer et pourtant quelque chose est en train d’arriver.L’ennui passif, lancinant, insupportable qui transforme l’être en une bête étrange.

Rien ne semble se passer
et pourtant quelque chose est en train d’arriver.
L’ennui passif, lancinant, insupportable
qui transforme l’être en une bête étrange.
ANATOMIE
DE L'ENNUI
ou comment j'ai avalé des spaghettis avec une paille
Chorégraphie Benjamin Forgues & Charlie Merlet
Assistance à la création / Auteure Jeunesse Jeanne Failevic
Interprétation Julie Barraud
Musique live Florent Tisseyre
Création Lumière Klarys Delchet
Création 2016
Avec le soutien de :
Centre Culturel Henri Desbal Toulouse
Maire de Toulouse
CDC Toulouse